Chapitre 3840
Clément a dit en souriant:
– Oui, M. Sétrien, je m’appelle Clément.
Entendant cela, Sétrien s’est levé péniblement pour saluer Clément, mais Clément l’a arrêté et a dit :
– M. Sétrien, tu es encore très faible, et ce n’est pas la peine de me saluer.
Sétrien a dit avec gratitude :
+10 Bonus >
– Enchanté de faire votre connaissance, M. Clément, je vous remercie sincèrement de m’avoir sauvé la vie et sans vous, je serais déjà mort…
En l’entendant, Clément a jeté un coup d’œil à Rosélyne et a dit :-
– Eh bien, tu dois remercier ta petite-fille, si je n’avais pas des dettes de reconnaissance à lui payer, je ne t’aurais pas sauvé.
Cela dit, il a ajouté:
– En plus, tu dois aussi remercier M. Benoît d’avoir intercédé pour toi.
Sétrien a hoché la tête et a regardé Rosélyne en larmes.
Quand Rosélyne a croisé le regard de Sétrien, elle s’est aussi mise à sangloter plus fort.
Puis, Sétrien a tourné les yeux vers Benoît et a dit avec reconnaissance :
-Benoît, merci beaucoup !
Benoît s’est hâté de dire:
– Oh, je t’en prie ! En fait, je n’ai fait presque rien pour toi, et c’est surtout M. Clément et Rosélyne qui t’ont beaucoup aidé.
Sétrien a hoché la tête et a regardé à nouveau Clément, en disant avec reconnaissance :
– M. Clément, je garde en moi pour toujours le bienfait dont vous m’honorerez, mais maintenant, comme je suis à bout de ressources, il n’est vraiment pas en mon pouvoir de vous en récompenser, je vous prie de ne pas vous en prendre à moi…
Sétrien savait qu’il était maintenant un pauvre malheureux.
Bien qu’il reste encore un peu d’argent sur son compte personnel, ce n’était rien devant les actifs de la famille Brunelle, dont la grande majorité n’avait déjà plus rien à voir avec lui.
À ce moment, Clément a dit :
– Eh bien, ce n’est pas pour te demander un retour que je t’ai sauvé. De plus, tu n’es pas tout à fait rétabli maintenant, et si tu veux vivre un ou deux ans de plus, tu dois absolument prendre bien soin de ta santé.
Sétrien a hoché la tête et a dit avec reconnaissance :
– Merci M, Clément ! Merci !
Rosélyne a aussi dit respectueusement:
– Merci M. Clément !
Clément a agité la main et a dit :
– M. Sétrien, je voudrais te demander quelque chose et j’espère que tu pourras me répondre avec honnêteté.
Bien que Sétrien ne sache pas ce que Clément voulait demander, il a dit avec une grande fermeté :
– M. Clément, rassurez-vous, je vous dirai tout ce que je sais.
Clément a hoché la tête et a demandé :
–M. Sétrien, est-ce que tu sais l’identité exacte d’Anianus qui vient de chercher à surenchérir sur toi aux enchères ?
– Anianus ? a dit Sétrien avec un sourire amer, il ne s’appelle pas Anianus, mais il utilise rarement sa vraie identité dehors.
Cela dit, Sétrien a poursuivi :
– En fait, il s’appelle Cormier, c’est le fils aîné de la famille Breguet.
– Cormier ?!
Entendent les mots de Sétrien, Clément était frappé de stupeur !
Dans sa mémoire, il avait trois oncles maternels: le premier Cormier, le second Armand et le troisième Cradric.
De plus, il avait aussi une tante nommée Sylvie.
Cependant, jusqu’à maintenant, il ne les a vus que quelques fois au total.
1/1.
