Chapitre 3685
Rosélyne a eu mal à la tête en entendant parler du Restaurant Gusto.
Elle
est dit :
«La nourriture du Restaurant Gusto est très bonne, mais comme j’y mange presque tous les jours, la nourriture de celle-ci ne m’intéresse plus. De plus, je suis allée plusieurs fois au Restaurant Gusto, et si Clément l’apprend, il pourrait même me soupçonner, ce qui ne serait pas bon pour moi.>> Rosélyne a donc souri et a dit à Clément :
– M. Clément, je suis déjà allée au Restaurant Gusto, et les plats y sont vraiment très bons, mais ils sont très chers à cause des ingrédients précieux. Avez-vous d’autres recommandations de restaurants ? Comme celui d’aujourd’hui, je trouve que c’est juste génial…
Clément s’est étonné:
– Tu es allée au Restaurant Gusto ? J’aurais demandé au patron de vous offrir un repas gratuit.
Et il a ajouté :
– Eh bien, je passerai un coup de fil au patron du Restaurant Gusto tout à l’heure, et je lui demanderai de vous faire une addition gratuite quelle que soit la date à laquelle vous irez, Mile Jacqueline !
Rosélyne s’est empressée de dire:
– Non, ce n’est pas bon ! C’est le restaurant de votre ami, ce n’est pas bien…
Au plus fond de Clément, il considérait Rosélyne comme un chat et voulait la taquiner.
Clément a ri:
– Dans ce cas, je ferais mieux de chercher un restaurant local, et je vous y emmènerai manger.
Roselyne a hoché la tête et a souri :
– Je n’ai qu’un seul ami dans la Cité J, et c’est vous, M. Clément, alors merci de prendre soin de moi !
Clément a souri:
– Je vais m’en occuper !
Il a alors regardé l’heure et a souri:
Mlle Jacqueline, il se fait tard, si nous partons?
– Oui, Rosélyne a souri, merci pour votre hospitalité aujourd’hui ! Et si on se tutpie?
– Bien !
Clément s’est levé, et voyant Rosélyne se lever aussi et prendre son sac à main il l’a précédée jusqu’à la porte, a ouvert la porte de la chambre, et a souri:
– Allez.
Rosélyne l’a remercié d’un signe de tête et est sortie de la pièce.
Il faisait déjà nuit, devant la porte et la cour, bien qu’éclairée par une lampe, il était encore très sombre.
Rosélyne est sortie et a cherché Périer, mais à sa grande surprise, il n’était pas, comme d’habitude, près de la voiture.
Elle s’est étonnée et a dit :
– Où est Périer ? Il a l’habitude de m’attendre près de la voiture, pourquoi ne le vois-je pas aujourd’hui ? Se repose-t-il dans la voiture ?
Sur cette pensée, elle s’est dirigée immédiatement vers la Cadillac.
Mais lorsque Rosélyne y est arrivée, elle se rendait compte qu’il n’y avait pas de Périer à l’intérieur.
Elle a regardé autour d’elle et n’a pas vu Périer dans la cour.
Rosélyne était alors un peu paniquée.
Elle a sorti alors son téléphone portable et a tenté d’appeler Périer, mais l’appel indiquait qu’il ne pouvait être connecté.
Paniquée, elle a continué d’essayer de l’appeler en faisant les cent pas dans la cour.
Clément s’est étonné :
– Mlle Jacqueline, qu’est-ce que tu as ?
Rosélyne a dit :
– Mon… mon chauffeur a disparu…
– Disparu ?
Clément s’est étonné:
– Comment peut-il avoir disparu? Je viens de sortir pour répondre au téléphone et je lui ai dit bonjour…
Clément s’empressait d’ajouter :
Il est peut-être allé aux toilettes ?
Rosélyne était paniquée :
– Mais son portable n’est pas joignable non plus, et il.est toujours prudent, il ne disparaîtrait jamais subitement, alors… Je pense donc qu’il a peut-être des ennuis…
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