Chapitre 3497
Sur ce, Clément a ajouté d’un air sérieux :
-Lors d’essais, il faut ra*sembler les patients et noter attentivement leurs changements quotidiens par des moyens scientifiques. Et après la fin du programme, rappelle-toi de donner à chaque patient 10 mille euros en récompense.
Actuellement, les patients accordaient toujours une très grande attention aux essais de médicaments spécifiques et dès qu’il y avait un nouveau programme d’essai, ils se précipiteraient pour s’inscrire.
Mais généralement, les programmes d’essai n’offraient que des médicaments gratuits aux patients et ne leur donnaient jamais. une récompense, et surtout une si grande récompense comme le faisait Clément.
Claude savait bien que Clément lui demandait de sélectionner 100 patients qui vivaient dans les conditions les plus difficiles et souffraient le plus, c’était pas pour faire les essais cliniques chez eux, après tout, le Contrance était déjà bien identifié comme un super médicament sans effets secondaires indésirables.
Clément voulait faire ça, c’était simplement pour donner une chance à ces patients de renouer avec la vie.
Alors Claude a dit sans réfléchir :
Maître Clément, je commence aussitôt à fabriquer les emballages dès mon retour et j’essaie plutôt de prendre demain le premier avion pour les États-unis et d’avoir une rencontre avec le responsable des médicaments importés des États-unis. Clément a hoché la tête et a dit:
Mon avion d’affaires est juste de retour, et tu peux le prendre pour aller aux États-Unis.
-Alors je rentre maintenant pour faire les préparatifs, a dit Claude sérieusement, si je peux partir dans l’après-midi, je devrais arriver à Washington demain après-midi, heure locale. En ce cas, tant que je prends rendez-vous à l’avance avec le responsable, je pourrai directement le rencontrer dès mon arrivée à Washington!
En l’entendant, Clément a demandé:
– Es-tu sûr de pouvoir rencontrer le responsable?
Claude s’est hâté de dire:
– Il y a plusieurs agences américaines de relations publiques qui sont spécialement chargées d’aider les entreprises de se mettre en rapport avec les fonctionnaires américains, donc tant que je leur paie les dépenses de relations publiques, ils pourront m’aider à donner rendez-vous à ce responsable.
Clément a hoché la tête et a dit:
– Bon d’accord, il faut au moins pa*ser le médicament au responsable.
En l’entendant, Claude a dit d’un air un peu inquiet:
– Maitre Clément, à vrai dire, c’est pas difficile de remettre le médicament entre les mains du responsable, mais je crains juste qu’il ne prenne pas au sérieux notre médicament. Peut-être qu’à peine m’aura-t-il dit au revoir, il jettera à la poubelle le médicament que je lui ai donné…
Clément a dit sérieusement:
– Mais c’est beaucoup plus compliqué si nous avançons conformément aux processus normaux. Nous devons d’abord faire de nombreux tests cliniques, et puis il faut aussi beaucoup de temps avant qu’ils terminent d’examiner nos données… ça nous demandera en tout un ou deux ans, mais tu sais, nous n’avons pas tout ce temps, alors nous ne pouvons que trouver d’autres solutions.
Sur ce, Clément a poursuivi:
Mais cette fois, il ne faut pas donner toutes les 20 boîtes à ce responsable d’un seul coup, tu peux lui donner quelques boîtes pour voir sa réaction vis-à-vis de notre médicament. S’il semble ignorer totalement notre médicament, tu auras à essayer de chercher aux Etats-unis une célébrité atteinte d’un cancer et de le convaincre d’essayer notre médicament.
– En un mot, si notre médicament ne peut pas attirer l’attention officielle, tu dois trouver le moyen d’attirer l’attention populaire sur notre médicament.
