Chapitre 3468
Après que Clément et Benoît se sont dit au revoir au téléphone, Edmond conduisait la voiture jusqu’à l’entrée du restaurant.
Avec Clovis, qui est venu les accueillir, se trouvait Claude, le directeur général du Groupe Pan.
Lorsque Claude a vu Clément, il s’est avancé rapidement et a dit :
– Maitre Clément !
–
Clément ne s’attendait pas à ce que Claude arrive si vite et a souri:
– T’es arrivé si vite!
Claude s’empressait de répondre:
– M. Edmond m’a dit que vous me cherchiez, alors je me suis précipité.
Clément a acquiescé et a souri:
Je voudrais te parler du nouveau médicament, entrons et parlons.
Clovis s’empressait de dire:
-Maître Clément, la loge diamant est prête, s’il vous plait !
Clément a dit:
Allez.
Clément est allé à la loge diamant avec eux, après s’être a*sis, Clément a demandé à Claude,
-Comment est la situation récente du Groupe Pan?
Claude a dit avec enthousiasme,
Maître Clément, les ventes du Moineau sont très bonnes, le Moineau est entré avec succès dans les marchés de certains pays développés en Europe, et les ventes mensuelles globales sont plus de 200 millions d’euros, et les ventes sont toujours en hausse, et les ventes de cette année vont sûrement dépa*ser 3 milliards d’euros. Il n’y a pas de problème.
Clément n’était pas surpris d’entendre ce chiffre, c’était plutôt Edmond qui était choqué et qui a demandé:
-Les ventes globales du Moineau peuvent dépa*ser 200 millions par mois ?
Le prix réel du Moineau à l’étranger était d’environ 100 dollars, et après avoir enlevé les coûts de production, les tarifs et l’impôt sur le revenu des sociétés, et après avoir déduit les coûts de publicité et les coûts de logistique, le taux de profit net étiat d’environ 40 % à 50%.
Edmond s’est exclamé :
Si ce médicament peut être commercialisé dans tous les pays d’Europe et en Amérique, on gagnera encore plus ?
– Oul.
Claude a expliqué:
Plusieurs pays d’Europe et les États-Unis sont relativement stricts dans leur approbation des médicaments importés d’outre-mer, ce qui nous oblige à produire des expériences pharmacologiques relativement complètes ainsi que des données d’essais cliniques, et même des données détaillées sur la pharmacocinétique. Le plus gênant, c’est qu’ils nous obligent à publier les ingrédients médicaux, et nous discutons encore avec les autorités locales.
Clément a dit avec indifférence:
– Il est absolument impossible que la composition soit divulguée. Publier la composition est ce que nous ne pourrons jamais faire
Claude a dit avec difficulté:
Mais Maitre Clément… si ces pays insistent, et si nous ne sommes pas d’accord, ils n’approuveront pas l’entrée de notre médicament dans leurs pays.
Clement a posé une question:
N’y a-t-il pas d’exceptions à la politique de ces pays?
– Il y en a, a expliqué Claude, s’il s’agit d’un médicament spécial lié à une maladie majeure avec un taux de mortalité élevé, il peut obtenir une approbation spéciale dans certains cas, il s’agit essentiellement du cancer, des maladies cardiovasculaires qui ont un taux de mortalité élevé ou des maladies chroniques comme le diabete qui nécessitent une médication à long terme. Sil existe des médicaments efficaces dans ces domaines, ils autorsent généralement leur entree dans leur pays
Claude a dit.
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– Mais le Moineau n’est pas si miraculeux, après tout, il traite principalement les symptômes chroniques ou soudains de maux d’estomac et d’indigestion, qui ne sont pas considérés comme des maladies graves.
Clément a acquiescé et lui a demandé :
– Quels sont les autres pays qui ne l’ont pas encore approuvé ?
Claude a répondu :
Le plus grand marché où nous n’avons pas encore pu entrer est celui des États-Unis, les exigences de la FDA sont vraiment trop strictes et le processus est lourd, donc c’est un peu délicat, mais nous avons tous réussi à entrer au Canada, au Mexique, en Allemagne et au Royaume-Uni,
Claude s’est exclamé :
– En fait, le potentiel de marché des trois pays, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Allemagne, est très important!
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